La mention « meilleur avant » ne signifie pas que le produit n’est plus consommable, elle indique seulement qu’après cette date, le goût peut dans certains cas être altéré. Pourtant 23 % des Québécois croient que la fameuse mention « meilleur avant » signifie que l’aliment « devient impropre à la consommation » du jour au lendemain. À cause de cette méconnaissance, on se plaint que l’alimentation coûte cher et il en résulte que chaque ménage québecois jette pour 604 $ d’aliments par année. Mais c’est quand moins que la moyenne canadienne, qui est de 761 $….
Concept d’épicerie pour contrer les déserts alimentaires
Un désert alimentaire désigne un secteur géographique où l’accès à une alimentation saine et abordable est limité ou inexistant, Au Québec, on estime que 500 000 personnes sont des cette situation et à Toronto, environ 500 déserts alimentaires ont été identifiés. Pour contrer cette absence, un jeune entrepreneur c’est inspiré d’une technologie européenne pour créer une épicerie libre-service. Une belle opportunité à développer dans tout le Canada!
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2103459/kios-alexandre-gilbert-vanasse-depanneur
La coopérative d’utilisation de matériel agricole (CUMA)
Très populaire en Europe, ce modèle de coopérative est encore mal connu au Canada, sauf au Québec où l’on y retrouve la totalité, sauf une située dans l’Est Ontarien: la CUMA Franco-Agri. Voici un bon article qui démystifie ce modèle: https://www.cooperateur.coop/fr/ma-ferme/4-mythes-sur-les-cuma

Aide financière pour les petites entreprises rurales et organismes de l’Ontario
Le Programme de développement des collectivités rurales de l’Ontario est maintenant ouvert. Il peut financer jusqu’à 50% des coûts d’une planification stratégique pour les organisations et jusqu’à 35% des coûts de diversification des marchés (études de marché, plans de marketing) et planification de la relève pour les petites entreprises rurales de moins de 20 employés. Les demandes sont acceptées jusqu’au 24 septembre 2025.

Faut il prendre des suppléments d’oméga-3?

De nombreux articles scientifiques démontrent les bienfaits des oméga-3. Mais si l’on creuse davantage, on remarque que cette affirmation est très variable selon la source d’oméga-3. Il y a une grande différence entre les oméga-3 de source animale, végétale et de synthèse. Plus l’origine est naturelle, meilleur est l’effet, et dans ce cas précis les oméga-3 provenant des poissons sont les meilleurs. Et les suppléemts en pillule? Ils sont efficace comme renforcement des oméga-3 naturels, mais peu d’effet si c’est la principale source.

La force de l’économie circulaire dans une économie
Depuis le début de l’année, le monde économique est en crise. Guerres qui se prolongent, tarifs douaniers exhorbitants qui déstabilisent les économies mondiales, épuisement des ressources naturelles… Il est encore temps d’agir et l’économie circulaire fait partie de la solution car elle permet de:
-Réduire les entrées : pour une moindre dépendance aux ressources extérieures ;
-Diminuer les pertes : pour limiter les impacts environnementaux et valoriser les déchets ;
-Accroître la productivité : pour renforcer l’autonomie alimentaire.
Voici quelques exemples mis en place par SOL-AIR Consultants:
- Incorporation de pommes de terre déclassées dans la ration alimentaire des vaches laitières. Résultats: 50% d’économie sur l’alimentation des vaches, lait plus riche en matières grasses et utilisé pour la fabrication de fromages artisanaux.
- Récupération de la pulpe des fruits, après en avoir extrait le jus, pour en faire des lanières (cuirs) de fruits servant de collation santé.

Produire du lait carboneutre, est-ce possible?
La réponse est difficle, car à l’heure actuelle et selon l’avancement de la recherche, on serait tenté de répondre non. Par contre, on peut tendre vers une neutralité et espérer que d’ici plusieurs années la réponse sera oui selon cet article de la Presse: https://www.lapresse.ca/actualites/environnement/objectif-produire-du-lait-carboneutre/2025-03-09/combattre-les-changements-climatiques-sur-le-plancher-des-vaches.php

Manger local, les jeunes donnent l’exemple!
Selon un article du journal le Devoir, environ quatre jeunes sur dix au Canada ont affirmé avoir puisé dans leurs économies ou emprunté de l’argent pour acheter de la nourriture, selon une étude effectuée au printemps 2025. Il s’agit de la génération qui a le plus recours à l’épargne ou au crédit pour s’alimenter, suivie des millénariaux (35 %), de la génération X (31 %), des baby-boomers (29 %), puis finalement des personnes nées avant 1946 (12 %).

Comment les coopératives peuvent devenir une solution au problème des tarifs douaniers de 25%?
Les coopératives peuvent être une solution efficace face à des tarifs douaniers élevés de 25 %, en adoptant plusieurs stratégies :
1-Achat en groupement: Les coopératives permettent aux entreprises membres d’acheter en gros, réduisant ainsi les coûts unitaires et compensant en partie l’impact des tarifs douaniers.
2-Production locale et substitution aux importations: En regroupant des producteurs, les coopératives peuvent favoriser la production locale de biens qui seraient autrement soumis aux droits de douane, réduisant ainsi la dépendance aux importations.
3-Optimisation des chaînes d’approvisionnement: En travaillant ensemble, les membres d’une coopérative peuvent explorer des stratégies comme donner une plus-value à leur produits en les transformant localement.
En résumé, les coopératives permettent aux entreprises de mieux résister aux tarifs douaniers de 25 % en réduisant les coûts, en développant des alternatives locales et en optimisant leurs stratégies commerciales.
La réalité des voitures électriques
Très bonne analyse de l’impact environnemental des voitures électriques à moyen et long terme.
https://www.lapresse.ca/debats/opinions/2023-07-27/la-realite-des-vehicules-electriques.php

